À cinq ans, Audrey Alwett dicte ses aventures bucoliques à sa cousine, en abusant du passé simple. À huit ans, elle remplit des cahiers entiers de poèmes et contes cosmogoniques. À onze ans, elle suit les cours de français de Danielle Martinigol, une écrivaine qui transforme son rapport à l’écriture. À vingt ans, elle publie sa première nouvelle. Puis elle obtient un Master de lettres, avant de rejoindre l’atelier d’artistes Gottferdom pour faire de l’écriture son métier à plein temps.
La narration sous toutes ses formes la fascine. Passionnée par le théâtre forain du XVIIe, le roman du XIXe aussi bien que par la fantasy, elle se dit rabelaisienne du fond du cœur.
Audrey Alwett est aujourd’hui autrice de nombreuses bandes dessinées (en particulier la série à succès Princesse Sara ou encore Le Grimoire d’Elfie), mais aussi de nouvelles, dessins animés et romans (tels que la série Magic Charly chez Gallimard jeunesse). Depuis quelques années, elle est également conteuse. À ses yeux, il existe mille et une façon de tisser une histoire, la difficulté est de choisir les bons fils et de ne pas trébucher dedans.
Si elle habite aujourd’hui à Aix-en-Provence, ville de fontaines et d’histoire, elle considère qu’elle a toujours vécu en Littérature.
FOIRE AUX QUESTIONS
Vivez-vous de votre plume ?
J’ai commencé à vivre de ma plume à vingt-cinq ans. Mon premier texte avait été publié quelque cinq ans plus tôt, dans une anthologie chez ActuSF (Fugue en Ogre mineur).
Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours écrit. Avant même de savoir écrire, je dictais à ma cousine nos aventures bucoliques en abusant du passé simple. En primaire, je tenais à jour un carnet de contes cosmogoniques. Au collège, j’ai eu la chance d’avoir pour professeure de français l’écrivaine Danielle Martinigol.
Lorsque je suis entrée au lycée, j’ai fréquenté un atelier d’écriture. C’est à cette époque que j’ai commencé à écrire deux heures par jour. Je me suis lancée dans un roman à quatre mains avec une amie de l’époque, une histoire de vampires humoristique. Après l’avoir fini, nous l’avons envoyé fort modestement à deux petits éditeurs : Hachette et Gallimard. Qui l’ont refusé. Nous en avons été très étonnées.
Les années passant, j’ai continué à me voir refuser des romans les uns après les autres, tout en commençant l’écriture de nouvelles. J’ai eu davantage de chance avec ces dernières, puisque, outre le texte publié chez ActuSF, j’ai été primée deux fois au concours du CROUS. J’ai également publié des nouvelles dans le magazine Maxi, la revue littéraire Harfang et le mensuel Lanfeust Mag, où j’ai en prime commencé à écrire des scénarios d’histoires courtes en BD. En parallèle de ces publications et de mes études, j’ai été correspondante pour Presse Océan, un quotidien régional, où je tenais une chronique hebdomadaire. J’ai ensuite travaillé brièvement pour Ouest France.
J’ai rejoint le Gottferdom Studio en septembre 2007 pour faire de l’écriture mon activité à plein temps. La trilogie SinBad, coscénarisée avec Christophe Arleston et dessiné par Pierre Alary chez Soleil, a été ma première BD publiée. Une quarantaine de BD, albums jeunesse, dessins animés ou romans ont suivi depuis, dont Princesse Sara, une série dessinée par Nora Moretti et inspirée du roman de Frances Hodgson Burnett qui est mon principal succès à ce jour, avec onze titres publiés. Récemment, j’ai aussi publié Le Grimoire d’Elfie, une BD avec Christophe Arleston au co-scénario et MiniLudvin au dessin.
Depuis quelques années, je me consacre principalement au roman, activité chronophage entre toutes. Le premier à paraître fut les Poisons de Katharz chez Actusf (grand format) et Pocket, et la trilogie Magic Charly chez Gallimard Jeunesse. J’écris actuellement un cinquième roman.
Férue de traditions orale, je suis également conteuse, ce qui à mes yeux est une autre branche du métier. J’aime particulièrement conter pour les enfants, parfois accompagnée par ma chère Nora qui réalise les dessins en direct ou d’Ameylia Saad Wu, harpiste et compositrice.

©La Provence
Quelles études avez-vous faites ?
J’ai commencé par un DEUG en lettres classiques. J’étais passionnée de latin, mais ai fini par prendre le grec ancien en grippe, si bien que je me suis enfuie en Licence de Lettres modernes. Après quoi, j’ai obtenu un Master en littérature et édition. Et, pour faire bon poids, une Licence d’information-communication. En parallèle de ces études, j’ai été lectrice professionnelle pour une petite maison d’édition régionale, c’est à dire que je lisais les manuscrits envoyés par les auteurs par la poste et en faisais des compte-rendus. J’ai également fait de nombreuses piges en PQR (Presse Quotidienne Régionale) et en édition, tout au long de mon cursus.
Pour le conte, je me suis formée auprès d’une association.
Avez-vous un agent ?
Depuis 2017, mon agent est Roxane Edouard chez Curtis Brown, à Londres. Ce fut un grand soulagement que de pouvoir remettre ma carrière entre ses mains. Comme beaucoup d’auteurs, la partie négociation et rédaction des contrats est celle que je redoute le plus. Je pense que les éditeurs n’aiment pas ça non plus, à dire vrai, sans quoi ils n’embaucheraient pas des services juridiques spécialement dédiés à cela.
Mais Roxane ne négocie pas seulement pour moi. Elle m’aide aussi à mettre en place une stratégie littéraire, la première relectrice de mes textes (après mon mari), celle qui me conseille et qui prend toujours du temps pour moi, même quand elle n’en a pas. Celle qui dénoue les problèmes inextricables, celle qui trouve les solutions.
Enfin, elle me représente à l’international, ce qui n’est pas rien. Car je dois dire qu’à ce niveau-là j’ai souvent été déçue par mes éditeurs qui confisquaient mes droits internationaux sans rien en faire.
Roxane Edouard, mon agent
Où travaillez-vous ?
Je travaille à Aix-en-Provence, à l’Atelier Gottferdom où j’ai mon bureau et l’essentiel de mes bibliothèques, qu’il me faut régulièrement expurger sous peine de finir engloutie sous les livres. Dans cet endroit, autrefois siège de Lanfeust mag et aujourd’hui berceau des éditions Drakoo (une maison d’édition de BD entièrement dédiée au merveilleux et à l’imaginaire), nous sommes une dizaine d’artistes-auteurs à travailler quotidiennement, tels que Christophe Arleston (scénariste de BD, journaliste et romancier), Dominique Latil (scénariste de BD et de dessin animé), Daniela Dimat (dessinatrice de BD) ou Carole Breteau (scénariste de BD et dessins animés).
Toutefois, dès que j’en ai l’occasion, j’aime m’enfuir en Bretagne pour travailler au milieu de la verdure qui me manque beaucoup à Aix…
Avez-vous une routine de travail ?
En général, j’arrive à l’atelier vers 8h25 le matin et je passe la matinée en paperasse. Répondre aux mails, aux interviews, gérer les co-auteurs, les éditeurs, la communication sur les réseaux, les invitations, etc. Les dossiers Agessa, Sofia, SNAC, ADAGP et toute cette administration qui écrase les auteurs. Je lis énormément d’articles aussi. Cette procrastination nourrit mon imaginaire et ma réflexion.
L’après-midi, j’écris. Parfois, je m’éloigne de mon écran et je vais noircir des carnets dans les cafés et salons de thé. Je finis ma journée vers 19h. Depuis que j’ai des impératifs familiaux, c’est devenu plus compliqué de travailler le week-end et en soirée, mais je le fais autant que possible.
Où puisez-vous votre inspiration ?
De mon point de vue, l’imagination n’est pas une chose qui se puise, mais qui se muscle. Bien sûr, il est nécessaire de la nourrir en lisant, en regardant des séries ou simplement en étant attentif aux gens et lieux qui nous entourent. Mais plus vous aurez d’idées, plus vous en aurez. C’est comme réaliser des performances sportives. Après beaucoup d’entraînement, ça ne devient pas beaucoup plus facile, mais du moins s’améliore-t-on sans cesse.
Comment peut-on vous rencontrer ?
Je me déplace parfois en librairie, bibliothèque, salons du livre et festivals de BD. J’en ai sérieusement ralenti la fréquence ces dernières années, car cela impactait trop ma capacité de travail.
Je donne régulièrement mes dates de dédicace sur ma page FB, quoique j’ai plutôt tendance à faire confiance au hasard pour rencontrer mes lecteurs. Ma page Instagram est tout de même beaucoup plus à jour.
Pour les contes, interventions scolaires, prestations cosplays, chasse au trésor et expositions, voir la page dédiée.
Quels conseils donneriez-vous à une personne souhaitant devenir écrivain.e ?
Je ne connais pas deux collègues ayant un parcours professionnel identique, sauf peut-être parmi les dessinateurs. Et pour cause : nous avons aujourd’hui de fantastiques écoles de dessin (Pivaut, les Gobelins, Emile Cohl, Les Arts Déco de Strasbourg… etc), quand les formations en écriture commencent seulement à faire leur apparition…
Si vous n’avez pas les moyens ou la possibilité de faire une formation professionnelle, vous pouvez parfaitement apprendre en autodidacte. Des livres comme Écriture : mémoire d’un métier de Stephen King pourront vous y aider, ainsi que des Écoles d’écriture en ligne comme celle de Cécile Duquenne. J’ai d’ailleurs réalisé pour elle une masterclass en podcast, Être bien édité, que vous pourrez vous procurer ici.
Je conseille aussi de se renseigner sur le milieu en lisant par exemple les articles d’Actualitté (il ne se passe pas un jour sans que j’en lise quelques pages).
Pour le reste ça n’est que du travail, du travail et encore du travail. Une solide culture générale vous aidera (car l’imagination repose sur l’association d’idées) et il y a mille façon de s’en construire une. Je trouve que la façon la plus facile est encore de faire des études, si on a la chance de pouvoir y accéder. Mais certaines des personnes les plus cultivées que j’aie pu rencontrer étaient des autodidactes. Ensuite, vous pouvez rejoindre des communautés sur le Net, qui vous encourageront et vous soutiendront moralement dans ce long chemin qu’est l’écriture.
En ce qui me concerne, je n’accepte pas de relire et de corriger les manuscrits que l’on pourrait m’envoyer. C’est un métier différent du mien et qui demanderait énormément un temps que je ne possède pas. S’il vous plait, ne le prenez pas mal quand je refuse, ce n’est pas dirigé contre vous.
Dernier conseil, cent fois sur le métier remettez votre ouvrage et ne soyez pas économe sur les idées. Souvent, les débutants se contentent d’un premier jet quand les auteurs professionnels vont jeter presque un quart de leur texte à la poubelle lors de la relecture, et enrichir, et corriger encore pendant des semaines une fois le premier jet achevé : le talent n’est rien d’autre que du travail.
Ma page Tipeee pour financer des documentaires sur les autrices : https://fr.tipeee.com/audrey-alwett/
Page FB : https://www.facebook.com/AudreyAlwett
Page Instagram : https://www.instagram.com/audreyalwett
Bonjour Madame Alwett,
Je m’appelle Juliette, j’ai 12ans et j’ai dévoré les 2 premiers tomes de Magic Charly. Je sais d’après les autres commentaires que vous êtes dans l’écriture du 3ème tome mais ma question est : quand sortira t-il car je l’attends avec impatience ?
Cordialement
Juliette Benjamin
Bonjour Juliette et pardon pour le temps de réponse. J’avance bien sur ce tome 3, mais il y a beaucoup de pages. C’est pourquoi il paraitra en novembre prochain. Bonne journée à toi.
Audrey Alwett
Bonjour Madame Alwett,
je suis en train de lire Magic Charly 2 après avoir littéralement dévoré le premier tome. Je suis ravie de me passionner d’une incroyable lecture Française des plus originales. Je prend un grand plaisir à lire cette histoire. Bravo à vous et à votre délicieuse imagination.
PS : j’ai 16 ans et je suis passionné par l’écriture. Auriez-vous des conseils pour enrichir mes idées d’histoire ? Merciii
Raphaël ATTAL
Bonjour Raphaël et pardon de cet important retard ! Je suis généralement plus réactive sur mes comptes FB et Instagram.
Tes compliments me font vraiment très plaisir. Ils m’encouragent pour l’écriture du tome 3 où je suis solidement plongée !
C’est merveilleux d’être passionné par l’écriture à ton âge ! Je ne sais pas trop quels conseils te donner… Par où commencer ? L’idéal pour trouver des idées est selon moi de lire, lire et lire encore ! Et aussi être vigilant durant tes cours de français (ou de Lettres si tu es déjà en terminale), mais je suis sûre que c’est le cas !
Tu peux aussi aller voir les vidéos de Samantha Bailly sur son compte Youtube qui sont gratuites. Sinon… tenir des cahiers de voyage ? Un journal ? Ce sont des petites choses qui aident. Je pourrais te conseiller d’autres choses, mais dans un premier temps, c’est déjà pas mal ! N’hésite pas à poser d’autres questions (mais sur un autre réseau si tu souhaites une réponse rapide – désolée encore). Bonne journée à toi en cette rentrée qui j’espère s’est bien passée pour toi.
Audrey Alwett
Bonjour Mme ALWETT,
Je m’appelle Lenny, j’ai 12ans et j’ai dévoré avec enthousiasme les deux tomes de « Magic Charly » (le deuxième en 2 jours!!).
Prévoyez vous un troisième tome ?
Lenny 12 ans
Bonjour Lenny,
Merci pour ce petit mot très gentil qui me va droit au coeur. Oui, bien sûr, il y aura un troisième tome. Je travaille dessus ! Magic Charly était prévu dès le départ comme une trilogie, le 3e sera donc le dernier.
Merci encore de ton intérêt pour cette série.
Bonne journée à toi,
Audrey Alwett
Bonjour Madame Alwett
La ville de Berre L’Etang organise le 13 juin prochain un salon du livre parrainé par Jean-Paul Delfino. Nous souhaiterions avoir le plaisir de vous y accueillir.
Je reste à votre disposition à mon adresse mail ci-jointe pour vous préciser les modalités et vous donner des renseignements complémentaires.
Bien cordialement
Anne Caillault-Diaz Directrice médiathèque
Bonjour,
Je souhaiterais vous écrire plus longuement suite à notre rencontre au salon de la BD à Nîmes en 2018. A cette fin serait-il possible de communiquer par mail ? Voici mes coordonnées INSTAGRAM : angharad_gwyn (compte privé) pour me communiquer votre adresse mail si vous le voulez bien.
Cordialement
Rowane Dujeu–Rousseau
Je ne sais pas si tu te souviens de moi mais nous nous sommes rencontrées à Saint- Malo , au salon du livre. Je suis Justine, j’ai 8 ans et je suis venue avec mes parents, mon frère et ma sœur, juste avant la fermeture le dimanche soir.
C’est aujourd’hui que je viens de finir Magic Charly (avec des petites poses car je ne l’avais pas en vacances cet été).
C’était génial! A certains moments , on a l’impression d’être dans la peau de Charly, surtout vers la fin.
Il ne faudrait pas que tu t’arrêtes là car je suis pressée de lire le tome 2 !
Bonjour Justine,
Merci beaucoup pour ton message !
C’est vraiment adorable. Je suis en plein dans l’écriture du 2. Rassure-toi, j’avance bien !
A très vite !
Bonjour, bonjour,
Je suis en 5ème et je suis Princesse Sara depuis un bon bout de temps !!
Elle m’a toujours inspiré et réconforté, avec cette Sara si innocente, lors des moments un peu tristes.
J’adore l’histoire, le contexte et … les dessins !! Ça reste encore aujourd’hui ma BD préférée
Ma question est : à quand l’université volante ????
Sur ce, bonne continuation et merciiii
Bonjour, le tome 13 paraitra en septembre. Bonne journée !
Bonjour Mme Alwett,
J’ai adoré votre livre Magic Charly, cest mon 2e livre préféré après Harry Potter! J’ai aimé l’histoire de la serpillère vivante, Pepouze. Prévoyez-vous une suite?!:-)
Au revoir,
Nathan Schaefer (9ans)
Bonjour Nathan,
Merci pour ton message ! Oui, j’écris la suite en ce moment qui paraitra en novembre au plus tard !
A très vite.
Bonjour,
Je vous laisse ce petit message pour vous dire que j’ai adoré votre dernier livre Magic Charly. Il est vraiment génial, et l’univers est tellement bien tourné! ‘Fin bref, j’ai littéralement adoré 😀
Merci beaucoup ! C’est vous qui m’avez déjà laissé un si gentil commentaire sur twitter, n’est-ce pas ?
Je ne vous connaissais, j’ai découvert magic Charly grâce à Je Bouquine (qui mettait les premières pages dans son dernier numéro), j’ai de suite adoré l’univers et l’ai donc acheté dès sa sortie et j’ai ADORÉ, merci 🙂 je suis ravie de savoir que ça sera une trilogie et attends avec impatience la suite !! D’ici là je vais découvrir d’autres de vos livres 😉 venez faire une séance de dédicace à Paris l’année prochaine !
Merci beaucoup, ça me fait très plaisir ! Les Poisons de Katharz, publié récemment chez Pocket avait bien plu aussi, mais ce n’était pas de la jeunesse par contre.
Je vais tâcher de venir faire une signature sur Paris aux alentours de la rentrée. J’espère qu’on pourra s’y croiser 🙂
Bonjour,
Je vois que vous citez Zénaïde Fleuriot dans la liste des bestsellers.
A tout fin utile, je vous informe que je viens de publier une bibliographie de cette auteure :
Zénaïde Fleuriot une romancière bretonne du XIXe siècle aux Editions d’Art Henry des Abbayes à Fougères : http://editionsdesabbayes.blogspot.com/
Par ailleurs je possède un modeste site : zenaidefleuriot.monsite-orange.fr
Merci pour votre attention
A votre disposition
Daniel CARFANTAN
Excusez-moi, il fallait lire biographie et non bibliographie
Bonjour Madame Alwett
Je m’appelle Johanna, j’ai 14 ans et je suis élève en 3ème à côté d’Aix en Provence.
Je suis passionnée d’écriture et pour mon stage de 3ème (5 jours d’observation), j’aimerais pouvoir découvrir l’univers des écrivains. Je suis actuellement scolarisée pendant 3 mois en Angleterre et je rentre début décembre pour continuer mon cursus scolaire en France. Je dois effectuer mon stage la semaine du 10 au 14 décembre et si vous acceptiez de me recevoir afin de me faire découvrir le métier et le monde de l’écriture, je vous en serais très reconnaissante.
J’espère que vous aurez le temps de répondre à ma demande très rapidement et je vous remercie par avance de l’attention que vous y porterez.
Très cordialement
Johanna Castay
Bonjour Johanna, je suis désolée mais je ne découvre ton message que maintenant. Je t’aurais accueillie avec plaisir, malheureusement, je ne suis pas habilité à recevoir des stagiaires (en particulier je n’ai pas d’assurance professionnelle sans laquelle il m’est impossible de te recevoir). De toute façon, je te réponds sans doute un peu tard (j’avoue que je ne consulte pas mon blog tous les jours). Cependant si le métier d’écrivain t’intéresse vraiment, tu peux passer me voir à Gottferdom. Je prendrai un moment pour te faire visiter et discuter un peu avec toi.
Désolée encore de n’avoir pas vu ton message plus tôt,
Audrey Alwett
rien à dire, super article!
super article!
Bonjour,
J’ai découvert un extrait des « poisons de Katharz » grâce au « souper des maléfices » et des box collibris. Quelle jolie découverte !
J’entre dans un univers fascinant.
Et une question en suspens … jusqu’ici je me qualifiais d’ « auteure » mais il semble que j’ai tort …ou pas …
Ou pas. C’est vous qui choisissez, dans le fond. Personnellement, je milite pour autrice, mais tant qu’on est renseignés sur les origines du terme, on peut argumenter autrement.
Merci pour Les Poisons. Par contre, je ne connais pas les boxes colibris.
Bonjour Audrey,
Vous nous avez accordé un peu de votre temps pour nous présenter votre travail au salon du livre de Vannes, mille mercis ! Notre vidéo Vlog est en ligne depuis ce soir sur notre bébé chaîne YouTube et votre présentation est à 12 min 41 sur la vidéo. Bonne continuation !
ROAD N TROLL
Trouvé par hasard votre blog et le texte sur les « auteurs, auteures, autrices ».
Salut, un grand merci pour ce petit écrit concis et précis. J’affectionne parcourir tes posts prenants qui nous présentent toujours d’excellents exposés. Chaleureusement. Un lecteur de votre blog
Un jour parmi tant d’autres, une amie m’envoie vers ce site et vers la polémique auteur/autrice en estimant que ça pourrait m’éclairer, peut-être même me plaire. C’est ainsi que je tombe sur ce site et rencontre cette autrice qui n’a pas eu peur de se faire la place qui lui est juste dans le monde de l’écriture et de l’édition.
Actrice… ça passe ! Une auteure… Bob. « Un auteur » même pour une femme ne me semble pas blessant. J’ai tort ?
(Bof et non Bob… erreur de mon doigt !)
Bonjour,
Je viens enfin d’obtenir une réponse sur la féminisation de quelques mots, dont celui d’auteur / auteure, que l’on rencontre de plus en plus souvent. Pourquoi « auteure » ? Vous avez parfaitement raison : autrice est plus logique. (quoique pas très agréable phonétiquement.)
Je me suis aussi posé la question du genre des mots. Pourquoi UN bras et UNE jambe ? Le corps mais la tête ?
Vous fournissez un indice avec les mots plus « virils », mais pourquoi UNE arme ? puisque les femmes ne sont pas réputées guerrières ?
Je trouve que le mystère demeure… (hélas)
J’ajouterai pour terminer que vous pouvez me retrouver sur Short éditions, en tant qu’auteur : Vivian Roof (pseudo), et me laisser un commentaire…
Merci !
RJ Vandrouffe
If you wrote an article about life we’d all reach enhtelignment.